TÉMOIGNAGES

GILLES ROMBOLI " Il n'est jamais trop tard"
J'ai beaucoup appris avec vous, encore merci pour tout...

Odette Gilardeau Truong "Une vie réussie"
FRANCK TRUONG pour sa maman
Merci Corinne d'avoir accompagné Maman dans cet ultime moment de vie avec pudeur et discrétion. Grâce à toi, elle a pu prendre le temps de nous dire...



ROBERT MATOUGUI "Mon combat pour l'instruction"
Je remercie Corinne Delfosse, ma biographe, pour le professionnalisme qu’elle a manifesté durant ces quelques mois d’écriture. Je salue son état d’esprit, ses qualités de cœur et son savoir-vivre. Elle a fait partie de la grande famille des gens du voyage pendant quelques temps. Nos chemins se sont croisés, la vie reprend son cours mais je n’oublierai pas son souci de faire de ce livre un outil d’avenir.

NATHALIE-PASCALE ASSIER "Les clefs de la roulotte"
Merci encore Corinne, pour ton travail, c'est comme cela que ça devait être écrit !

Emilia Kowal-Matysiak "Un petit air de mazurka"
Merci Corinne, grâce à toi, nous avons remonté le temps tout en douceur !

MARIE
Marie prend son temps pour reprendre le texte là où nous l'avons laissé.
Dés notre première rencontre, j’éprouve pour Marie une grande affection. Je ressens une admiration absolue face à sa force et sa détermination en paradoxe singulier avec sa fragilité évidente. Ce qui me frappe d’emblée c’est son objectivité et son pragmatisme face à la maladie. 
Marie respire la volonté de vaincre. Elle a décidé que son mal n’aurait pas le dessus, c’est son Everest à elle. Après trois ans de combat, elle est en rémission. Marie sait pourquoi elle en est là, elle sait qui a volé son innocence de petite fille, elle connait ses suppliciés et elle sait contre qui et pour qui elle doit combattre.
Elle souffre depuis longtemps Marie et, comme si ça ne suffisait pas, c’est sur elle qu’est tombée la sentence, elle est deux fois « punie ». Alors parfois Marie a envie d’en finir avec ce démon déstabilisant. Elle me l’a dit : j’ai souvent eu envie de partir. Mais elle a une raison ultime de gravir ce sommet : son amour pour sa fille Sarah. 
Marie n’est pas bipolaire, elle souffre d’un trouble bipolaire de type BP 2 ½., c’est peut être un héritage, allez savoir … Ça lui est égal qu’il s’agisse de génétique. Ce qu’elle veut Marie, c’est guérir et choyer son enfant. Elle veut aussi chérir son mari parfois désorienté par tant de complexité et de variations d’humeur. Il est là pourtant, toujours présent, il la soutient et la protège.

Hervé fils de Monique et Louis Delestré "Un épais manteau blanc"
Merci pour votre travail. C'est formidable !
Je reprendrai certainement contact avec vous pour un autre projet.
Je vous suis reconnaissant d'avoir participé activement à l'établissement d'une trace de vie de Monique qui ne va pas révolutionner le monde mais n'en est pas moins fondatrice pour les générations à venir.

Nous sommes en décembre, le jour de Noël de l’année 1950. Les rues de Lille sont recouvertes d’un épais manteau blanc. Un froid intense glace les visages. À la sortie du cinéma, Le Familia, Monique et Louis se rencontrent, leurs regards bleus se croisent et se charment.
En 1954, Monique et Louis se disent « oui »
 Soixante-trois ans plus tard, ils sont toujours unis et heureux de l’être. Leur affection respective est palpable. Chez eux règne une sérénité rassurante. Ils évoquent dans ce livre, leurs souvenirs d’enfance liés à la Deuxième Guerre mondiale. Leurs débuts de jeunes mariés perturbés par un événement douloureux et puis leur belle vie à l’unique objectif, celui d’apporter du bonheur à leurs deux fils, Guy et Hervé. Puis, le temps venu, la joie d’être présents dans le cœur de leurs chers petits-enfants « pain d’épices »

REBBECCA "Ma vie m'appartient enfin"
Merci Corinne pour ta présence dans ces moments si difficiles.

Dieu pardonne peut-être, mais moi non, en tous cas certainement pas les actes impardonnables dont j’ai été victime. Aujourd’hui, je tente de me pardonner à moi-même les faits dont je ne suis aucunement responsable. 
J’entame ma reconstruction, je regarde le positif. L’amour de ma mère, de mes frères et sœurs et de mon copain, m’est indispensable pour vaincre mes troubles et pour dépasser le traumatisme de mes souvenirs.
Je ne peux pas enfouir les réminiscences de mon passé car elles sont là, palpables, et je dois les regarder en face. Elles ne s’effaceront jamais et je dois apprendre à vivre avec et à en tirer une force.
L’écriture de ce livre m’a fait comprendre que rien n’est jamais perdu, que jour après jour je vais me battre et ne rien lâcher pour surmonter l’insurmontable.
Ce livre a été écrit à quatre mains. Une biographe m’a aidé à mettre mes maux sur le papier et a tenu à garder mes mots au plus proche de ma personnalité.
Une nouvelle vie s’offre à moi, je tourne la page et je vais de l’avant, vers le bonheur. 

BIOGRAPHE FAMILIALE PRIVE
ECRIVAIN PUBLIC
RÉDACTRICE FREE LANCE
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